18 janvier 2012

RDCONGO: Élections 2011, les experts internationaux bloqués par la CENI décident de jeter l'éponge

 – Enseigne de la Ceni. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Le journal constate qu’i n’ya plus de traces des experts internationaux venus aider la Ceni à rectifier les irrégularités. Ils sont repartis en silence, comme ils étaient venus. Aucun mot sur la nature et la durée de leur mission. Ils auraient filé à l’anglaise. Abandon, rétorquent certains. Pas bon signe, note le quotidien, qui a mené des investigations à ce sujet et trouvé qu’ils travaillaient en vase clos au niveau du bureau central de la Ceni.

Il n’y a pas de surprise pour le Potentiel. Sinon, c’est le contraire qui aurait surpris dans la mesure où leur arrivée n’était pas du tout acceptée de gaieté de cœur. Au niveau de la Ceni, l’on ne s’empêchait pas de signaler que la «Ceni n’était pas du tout demanderesse et qu’en plus, elle n’était pas en difficulté de technicité».

Les experts internationaux étaient abandonnés à eux-mêmes. Ils n’ont pas pu avoir accès à des «données disponibles», comme on l’a laissé entendre, pour faire leur travail. Mais seulement, note le quotidien, ces experts internationaux partis feront rapport à leurs organisations, notamment le NDI, et l’IFES.

Le Phare s’oriente dans la même direction: «Compilation des résultats des législatives: Ceni – Experts américains, le divorce ! »

Les experts américains cherchaient à obtenir des données physiques et techniques pouvant leur permettre d’émettre des avis autorisés sur le caractère transparent ou non des résultats des scrutins législatifs nationaux du 28 novembre 2011.

Ils auraient refusé, indiquent plusieurs sources citées par le journal, d’être traités comme de simples caisses d’enregistrement des chiffres pré-compilés et déjà publiés par le personnel de la Ceni.

En effet, révèle le quotidien, il était matériellement et techniquement impossible à la Ceni de mettre à leur disposition son serveur central, son fichier électoral, les procès-verbaux de dépouillement des scrutins, les bulletins de vote ainsi que les urnes, plus près de deux mois après le vote.

Le journal constate qu’i n’ya plus de traces des experts internationaux venus aider la Ceni à rectifier les irrégularités. Ils sont repartis en silence, comme ils étaient venus. Aucun mot sur la nature et la durée de leur mission. Ils auraient filé à l’anglaise. Abandon, rétorquent certains. Pas bon signe, note le quotidien, qui a mené des investigations à ce sujet et trouvé qu’ils travaillaient en vase clos au niveau du bureau central de la Ceni.

Il n’y a pas de surprise pour le Potentiel. Sinon, c’est le contraire qui aurait surpris dans la mesure où leur arrivée n’était pas du tout acceptée de gaieté de cœur. Au niveau de la Ceni, l’on ne s’empêchait pas de signaler que la «Ceni n’était pas du tout demanderesse et qu’en plus, elle n’était pas en difficulté de technicité».

Les experts internationaux étaient abandonnés à eux-mêmes. Ils n’ont pas pu avoir accès à des «données disponibles», comme on l’a laissé entendre, pour faire leur travail. Mais seulement, note le quotidien, ces experts internationaux partis feront rapport à leurs organisations, notamment le NDI, et l’IFES.

Source: radiookapi

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