Pauvre Kabila, on nous l'a toujours présenté comme un homme de paix, doux et timide; presqu'un agneau!
Après les événements du 21, 22 et 23 Août à Kinshasa, l'opinion tant nationale qu'internationale découvre que Joseph Kabila n'est qu'un méchant et belliqueux imposteur. Il sait que son pouvoir est entrain de lui échapper. Le doux et petit timide président est devenu brusquement incontrôlable. Et on se demande où est passé l'incontournable commissaire bouillant Louis Michel? Il nous prépare une émission télévisée où il nous annoncerait sans doute que Joseph Kabila est toujours " l'espoir fou pour le Congo". C'est vrai, avec le nombre de morts qu'il provoque par sa milice présidentielle interposée, le Congo peut envisager l'avenir avec sourire. Si le ridule pouvait tuer, je suis convaincu que le commissaire bouillant allait piquer une crise cardiaque en suivant les news de Kinshasa, devant son poste téléviseur; heureusement pour lui, le ridicule ne tue pas.
Pauvre Kabila, lorsqu'on est président d'un pays, on est avant tout le garant des institutions de cet état. Et à ce titre, on ne peut pas mitrailler la résidence de son challenger dans la course au pouvoir ; même si celui-ci aurait, soit disant, commencé la "provocation". Plus grave encore, tout ce spectacle macabre se déroule au vu et au su des diplomates de la très nébuleuse communauté internationale, quel nom magnifique: communauté internationale!
Pauvre Kabila, c'est vraiment la réaction du gamin de Tshikapa. Lorsqu'une fois à l'école, il se dispute avec son collègue de classe, il riposte séance tenante et s'en va aussitôt dire à l'institutrice: "c'est lui qui a commencé".
Pauvre Kabila, il vient de signer son arrêt de mort politique en s'attaquant aux habitants de Kinshasa qui ont toujours été pacifiques; ils ne lui donneront plus aucune voix. Joseph Kabila vient d'être lâché par la population Congolaise de Kinshasa, il va bientôt être lâché par la nébuleuse communauté internationale sur qui sa garde personnelle s'est attaquée; elle lui dira: " on ne veut pas voir votre cadavre traîner comme un chien dans la ville de Kinshasa", dixit Mobutu! Et ça, c'est la vraie face de la communauté internationale.
Pauvre Kabila, il s'est foutu le doigt dans l'oeil en montrant au monde sa vraie face. Il n'a jamais été pacifique sinon, il n'aurait pas massacré les réfugiés hutus à Tingi-Tingi.
Pauvre Kabila, la question que nos frères du Kivu se posent à la lumière de ce qui s'est passé à Kinshasa est de savoir pourquoi la garde présidentielle n'utilise pas toutes ces armes afin d'attraper le criminel Nkunda Batware qui continue à semer la mort et la désolation dans notre beau Kivu de jadis. S'il n'est pas capable de répondre à cette question c'est sans doute parce qu'il est de connivence avec l'agresseur; notre peuple vient de le comprendre et c'est fini pour Kabila même au Kivu.
Pauvre Kabila, s'il continue à s'entêter en voulant rester au second tour, l'épreuve de feu l'attend: LE DEBAT CONTRADICTOIRE! Va t-il fuir ou arriver sur le plateau avec une grenade pour faire exploser Bemba ?
Pauvre Kabila, il doit réaliser aujourd'hui que c'est plus facile de conduire un taxi en Tanzanie que de vouloir jouer aux apprentis présidents à Kinshasa. Peut-être comme il aime jouer au Nintendo; il a cru qu'en mitraillant la résidence de son challenger, ce n'était qu'un jeu mais il a oublié que les jeux vidéo se déroulent dans un univers virtuel; la réalité est autre chose et elle est dure à avaler.
Pauvre Kabila, s'il faut en plus ajouter l'affaire de l'uranium congolais vendu à " l'axe du mal", il doit être mal dans sa peau. On lui avait promis la victoire au premier tour sans tenir compte de la réaction du peuple et le voilà maintenant comme un enfant à qui on refuse de donner le bonbon promis; il s'attaque aux "tontons de la C.I" en tirant même sur le cortège de Mr Swing.
Pauvre Kabila, c'est ainsi qu'au Congo on appelle une personne morte. Il est vraiment mort politiquement. Il ne lui reste plus qu’à se tirer une balle dans la tête pour nous débarrasser de son encombrante présence.
Après les événements du 21, 22 et 23 Août à Kinshasa, l'opinion tant nationale qu'internationale découvre que Joseph Kabila n'est qu'un méchant et belliqueux imposteur. Il sait que son pouvoir est entrain de lui échapper. Le doux et petit timide président est devenu brusquement incontrôlable. Et on se demande où est passé l'incontournable commissaire bouillant Louis Michel? Il nous prépare une émission télévisée où il nous annoncerait sans doute que Joseph Kabila est toujours " l'espoir fou pour le Congo". C'est vrai, avec le nombre de morts qu'il provoque par sa milice présidentielle interposée, le Congo peut envisager l'avenir avec sourire. Si le ridule pouvait tuer, je suis convaincu que le commissaire bouillant allait piquer une crise cardiaque en suivant les news de Kinshasa, devant son poste téléviseur; heureusement pour lui, le ridicule ne tue pas.
Pauvre Kabila, lorsqu'on est président d'un pays, on est avant tout le garant des institutions de cet état. Et à ce titre, on ne peut pas mitrailler la résidence de son challenger dans la course au pouvoir ; même si celui-ci aurait, soit disant, commencé la "provocation". Plus grave encore, tout ce spectacle macabre se déroule au vu et au su des diplomates de la très nébuleuse communauté internationale, quel nom magnifique: communauté internationale!
Pauvre Kabila, c'est vraiment la réaction du gamin de Tshikapa. Lorsqu'une fois à l'école, il se dispute avec son collègue de classe, il riposte séance tenante et s'en va aussitôt dire à l'institutrice: "c'est lui qui a commencé".
Pauvre Kabila, il vient de signer son arrêt de mort politique en s'attaquant aux habitants de Kinshasa qui ont toujours été pacifiques; ils ne lui donneront plus aucune voix. Joseph Kabila vient d'être lâché par la population Congolaise de Kinshasa, il va bientôt être lâché par la nébuleuse communauté internationale sur qui sa garde personnelle s'est attaquée; elle lui dira: " on ne veut pas voir votre cadavre traîner comme un chien dans la ville de Kinshasa", dixit Mobutu! Et ça, c'est la vraie face de la communauté internationale.
Pauvre Kabila, il s'est foutu le doigt dans l'oeil en montrant au monde sa vraie face. Il n'a jamais été pacifique sinon, il n'aurait pas massacré les réfugiés hutus à Tingi-Tingi.
Pauvre Kabila, la question que nos frères du Kivu se posent à la lumière de ce qui s'est passé à Kinshasa est de savoir pourquoi la garde présidentielle n'utilise pas toutes ces armes afin d'attraper le criminel Nkunda Batware qui continue à semer la mort et la désolation dans notre beau Kivu de jadis. S'il n'est pas capable de répondre à cette question c'est sans doute parce qu'il est de connivence avec l'agresseur; notre peuple vient de le comprendre et c'est fini pour Kabila même au Kivu.
Pauvre Kabila, s'il continue à s'entêter en voulant rester au second tour, l'épreuve de feu l'attend: LE DEBAT CONTRADICTOIRE! Va t-il fuir ou arriver sur le plateau avec une grenade pour faire exploser Bemba ?
Pauvre Kabila, il doit réaliser aujourd'hui que c'est plus facile de conduire un taxi en Tanzanie que de vouloir jouer aux apprentis présidents à Kinshasa. Peut-être comme il aime jouer au Nintendo; il a cru qu'en mitraillant la résidence de son challenger, ce n'était qu'un jeu mais il a oublié que les jeux vidéo se déroulent dans un univers virtuel; la réalité est autre chose et elle est dure à avaler.
Pauvre Kabila, s'il faut en plus ajouter l'affaire de l'uranium congolais vendu à " l'axe du mal", il doit être mal dans sa peau. On lui avait promis la victoire au premier tour sans tenir compte de la réaction du peuple et le voilà maintenant comme un enfant à qui on refuse de donner le bonbon promis; il s'attaque aux "tontons de la C.I" en tirant même sur le cortège de Mr Swing.
Pauvre Kabila, c'est ainsi qu'au Congo on appelle une personne morte. Il est vraiment mort politiquement. Il ne lui reste plus qu’à se tirer une balle dans la tête pour nous débarrasser de son encombrante présence.
Qui dit mieux?
Par Olivier Kayomo.
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