09 novembre 2005

R.D.Congo: Quelles élections et pour quelle finalité

L'analyse est faite par l'Honorable Maya NkumuKinshasa

I. De la motivation Depuis le 02 avril 2005, date de la proclamation par Monsieur Etienne. Tshisekedi, Président National de l' U.D.P .S, de la fin de la Transition en cours en RDC au 30 juin 2005, la fièvre de la préparation des élections, comme sous l'impulsion acharnée de Lucifer, s'est emparée des institutions de la Transition.
Du coup, Mr. I'abbé MALU MALU, devenu l'homme le plus heureux et le plus souriant du CONGO - KINSHASA (gestionnaire fataliste des millions de dollars américains), monte à bord d'une épave du DC8 d'Air Congo, la transforme en un Super Sonique Concorde déjà abandonné par le couple franco-britannique, annonce le référendum constitutionnel pour novembre 2005, plonge la nation entière dans l'hystérie collective d'enrôlement des électeurs fictifs sans recensement préalable de la population. Avec la complicité manifeste et très intéressée de certains Négroïdes occidentaux, Mr l'abbé MALU MALU réussit à bâtir pour des Congolais naïfs, une fausse allégorie de la caverne: un Etat inexistant organise les élections démocratiques sans préparation sérieuse!
C'est pourquoi, compte tenu de toutes les pesanteurs d'opprobre qui entourent l'organisation des élections présupposées libres et transparentes, nous avons décidé de rompre le silence pour, d'une part, éviter un jugement impitoyable de la postérité concernant notre démission face à l'ignominie qui se tisse sous nos yeux et surtout, d'autre part, imposer la force de la raison et de la morale à la force, monétaire et militaire immorale.
Il. Du questionnement argumentaire.
Par qui, quand, comment, pour qui, avec qui, à l'aide de quel financement et surtout pour quelle finalité les élections doivent-elles être organisées au CONGO-KINSHASA?
Une suite des questions puériles, produit fini de nos inepties! Peut-il en être autrement dans un pays si délabré faute d'intellectuels responsables ou à cause des dirigeants déclarés« sans culture politique, sans leadership de marque, sans compétence, sans foi ni loi et surtout, dépourvus de la conscience morale!
Nous sommes, quant à nous, convaincus que la situation congolaise exige des questions simples, des réponses claires et distinctes.
En effet, qu'il s'agisse du CIAT, de la MONUC, comme de l'Union Européenne à travers Louis Michel, ALDO AJELO et XAVIER SOLONA, tout le monde émet un avis péremptoire de ce genre:« Au CONGO-KINSHASA, les élections, financées par l'Union Européenne, doivent être organisées sans condition avec l'appui du CIA T et le concours de la MONUC avant le 30 Juin 2006 pour mettre fin à la crise de légitimité que traverse le pays depuis 1960. » Nous estimons que pareille prise de position catégorique et unilatérale présage une sombre et sinistre perspective des élections dans notre pays pour des raisons évidentes: Primo: Au Congo-Kinshasa, à cause du financement, les élections échappent aux Congolais et deviennent une affaire des Etrangers (erreur). Secundo: Les élections doivent être organisées minimum de consensus entre les Congolais. C'est à prendre ou à laisser. (2ème erreur).
Tertio: Les «élections sont organisées, non pas pour permettre au peuple congolais de confier les rênes du pouvoir aux hommes et femmes capables de trouver des solutions appropriées et durables aux problèmes existentiels quotidiens des citoyens, mais pour légitimer le pouvoir issu des armes pourvu que les intérêts des financiers soient garantis au détriment de ceux du peuple congolais. (3ème erreur).
Nous soulignons à l'attention de la communauté internationale que les élections organisées sous un tel défi à tout un peuple constituent un piège satanique, préjudiciable à l'unité nationale et à l'intégrité territoriale du Congo-Kinshasa.
Les vrais partenaires occidentaux du peuple congolais, soucieux d'une coopération mutuellement avantageuse, ont tout intérêt à tenir compte du climat sociopolitique congolais du moment en vue de réussir des élections tant souhaitées aussi bien par l'ensemble de populations congolaises que par la communauté internationale. Pour y parvenir, il faut examiner avec attention un certain nombre de paramètres.
III. De paramètres clairs et distincts.
Plusieurs paramètres clairs et distincts démontrent que la préparation des élections est très mal partie, que la CEI se trouve au coeur du drame et qu'enfin il y a rupture totale du consensus national multidimensionnel et plurisectoriel,
3.1. Rupture du consensus national Le 30 juin 2005, à cause de la très mauvaise interprétation de l'article 196 de la Constitution' de la Transition, le consensus obtenu grâce à l'Accord Global et Inclusif de PRETORIA a été doublement rompu:
3.1.1. Rupture du consensus entre les signataires de l'Accord Global et Inclusif.
Les signataires de l'accord Global et Inclusif, notamment ceux du groupe A de l'opposition politique, qui ne participent pas aux institutions de la transition, ont sifflé la fin de la Transition le 30 juin 2005 à minuit pour des raisons évidentes en rapport avec les objectifs de la transition, notamment: - La paix ne règne pas sur l'ensemble du territoire national; au contraire, en ITURI, dans les deux KIVU et au KATANGA, des forces négatives imposent toujours leur loi aux populations sans 'défense. (Cfr le groupe RASTA,FDLR).
- L'intégration de l'armée ne s'est jamais réalisée: - La réconciliation nationale est devenue un leurre.
Bref, même si Mr l'abbé MALU- MALU disposait de toute la logistique appropriée, il n'organiserait jamais les élections dans des conditions pré-rappelées. Celles-ci ne relèvent nullement de la logistique, mais plutôt de la politique et de la mauvaise gouvernance.
3.1.2. Rupture du consensus entre les dirigeants de la Transition et le peuple congolais A ce niveau, la rupture du consensus est symbolisée par une formule simple et lapidaire 1+4=0.
3.2. Textes de rupture.
Tous les instruments juridiques relatifs à la période de transition connotent les germes de rupture. Exemples:
3.2.1. L'Accord de Lusaka.
La première rupture du consensus national remonte à l'Accord de Lusaka. En effet, pour plaire à tous les seigneurs de guerre, les auto- délégués de Sun City ont admis au dialogue inter- Congolais, des structures hybrides dénommées «entités» et « les Maï- Maï », alors que le points 5.2.a. de l'Accord de LUSAKA dispose que « Le processus des négociations politiques inter-congolaises doit inclure, outre les parties congolaises, à savoir le Gouvernement de la République Démocratique du Congo, le Rassemblement Congolais pour la Démocratie et le Mouvement pour la Libération Congo, l'opposition politique ainsi que les forées vives de la nation ».
L'hebdomadaire SALONGO, N° 0268 du 23 au 2~ septembre 2005 rappelle à juste titre que « la tricherie s'est installée dans les mours des acteurs politiques congolais à partir même de la phase préparatoire du Dialogue inter-congolais où les critères de participation ont subi des entorses telles que des partis notoirement connus ont été laissés à la touche par des manouvres de copinage et de parrainage, voire de corruption. »
3.2.2. L 'Accord Global et Inclusif Ce document est un contrat entre les signataires autoproclamés « délégués» de leurs composantes et entités respectives. Il exclut la majorité qualifiée des Congolais non-signataires. Il installe la rupture et la fracture au sein de la communauté nationale: les uns se partagent tout, les autres rien. Jamais dans l'histoire de l'humanité, il n'a été procédé à un partage barbare d'une nation: chaque composante a ses provinces, ses territoires et ses entreprises. Quelle honte!
Enfin, quelle est la valeur actuelle de ce document alors que le groupe A de l'opposition politique ne s'y reconnaît plus?
3.2.3. La Constitution de la Transition Ce document consacre l'exclusion de la majorité qualifiée du peuple congolais de la gestion de la transition en même temps qu'il cimente à jamais la rupture du consensus national. D'abord, ce document est l'ouvre des «Délégués des composantes » et non du peuple congolais: (Nous, délégués des composantes et entités au dialogue inter congolais.,..» Bien plus, le souci majeur de ce document est qu'il réponse «sur une répartition aussi juste que possible des différentes responsabilités d'Etat entre les composantes et entités du dialogue inter congolais.., » (Préambule de la Constitution).
Comme attesté ci-dessus, ce document entretien la rupture du consensus national pour autant qu'il fait du Congo- Kinshasa le bien privé des belligérants signataires de l'Accord Global et Inclusif.
3.2.4. Le projet de Constitution ad referendum.
Ce projet de Constitution est une élaboration des belligérants. A ce titre, il pérennise la rupture du consensus national. D'abord, ce projet de Constitution écarte le fédéralisme, option fondamentale prise par le peuple congolais réuni en Conférence Nationale Souveraine. En outre, ce projet de Constitution introduit la scélérate et pernicieuse notion de« minorité culturelle et linguistique» dans un espace géographique harmonieusement arrosé par plus de 300 ethnies et langues!
Enfin, sur quelles valeurs morales faut-il fonder la III République lorsque le projet de Constitution qui la sous entend, est modelé sur de petits calculs et de faux motifs, et surtout, élaboré par des belligérants criminels seigneurs de guerre sans foi ni loi?
Bref, ce projet de constitution est une abjection, ouvre des Etrangers pour des intérêts des Etrangers. Il veut faire du Congo-Kinshasa la loterie de l'histoire en matière de nationalité d'une part, la poubelle de l'Humanité sur le plan moral d'autre part.
3.2.5. Le projet de la loi électorale Ce projet de loi, élaboré en -fonction d'une Constitution non encore approuvé par le peuple congolais, marque déposée des belligérants- seigneurs de guerre sans foi ni loi, projette des élections censitaires et exclusives : 250.000 $ de caution pour le candidat Président de la République et 1.000 $ pour le candidat député!
Ainsi, après avoir massacré les populations congolaises (4.000.000 de morts), après s'être emparé du pouvoir ainsi que des richesses du pays comme butins, les seigneurs de guerre, criminels sans foi ni loi, décident d'installer une ploutocratie au Congo-Kinshasa.
Les imperfections de la loi électorale sont légion. Par exemple, les députés nationaux et provinciaux ont une même circonscription électorale: la provincE1) pour autant que les districts actuels deviennent des provinces au regard de l'article 3 du projet de constitution ad referendum. Un tel projet de loi ne peut réunir le consensus national.
3.3. Structures de rupture du consensus national
La mise en place des institutions de la transition ainsi que de leurs animateurs a été fortement décriée à l'époque, Nous n'y revenons pas, Nous soulignons néanmoins à titre de rappel ce qui suit:
3.3.1. L'espace présidentiel (1 + 4)
L'espace présidentiel n'est pas inclusif. Car il comprend trois swahiliphones, un lingalophone et un Kikongophone. L'aire culturelle lubaphone a été intentionnellement ignorée. Dans sa composition, l'espace présidentiel consacre donc la rupture du consensus national en violation de l'Accord Global et Inclusif.
3.3.2. La Commission Electorale Indépendante
La Commission Electorale Indépendante est dans tous ses coins et recoins un véritable cheval de Troie pour le Congo-Kinshasa - D'abord, dans son essence, la CEI est une création des belligérants. Elle ne peut. être indépendante vis-à-vis de ces Seigneurs de guerre sans foi ni loi, Et les Congolais non-signataires de l'Accord Global et Inclusif ne s'y retrouvent ni s'y reconnaissent.
Dans sa composition ensuite, le bureau de la CEI n'est pas représentatif de la nation. C'est une Commission Electorale suahiliphone : 65 % des effectifs du bureau national appartiennent aux régions orientales du pays.
Concernant enfin la compétence, la CEI est tout simplement une forge. Les belligérants seigneurs de guerre qui l'ont engendrée, ont volontairement et intentionnellement écarté l'expertise nationale en la matière.
Les conséquences de tout ce qui précède, dirait Cicéron l'orateur romain, sont plus claires que la lumière du jour: la tricherie à l'échelle nationale au regard des repères suivants:
a) De la population congolaise globale
En 1984, au terme du recensement scientifique, la population congolaise s'élevait à 30.729.443 habitants dont 15.636.349 femmes et 15.093094 hommes.
Monsieur l'Abbé MALUMALU peut-il nous donner la hauteur de la population congolaise en 2005 ? En vertu de quel critère l'abbé MALUMALU devra-t-il procéder à la fixation du nombre, de députés par circonscription électorale alors qu'il a craché sur le recensement de la population congolaise?
b) De l'estimation de la population congolaise par province
Dans son projet de répartition des bureaux de liaison remis aux responsables des partis politiques au cours de la réunion de prise de contact du 02 août 2004, Monsieur l'Abbé Malu Malu présente les estimations de la population congolaise en 2004 dans un tableau que nous confrontons aux résultats du recensement scientifique de 1984.
Constat:
1) Il est normal que Kinshasa et le Kasaï Oriental voient leurs populations respectives augmentées de 14,5%, et de 9,9% pour des raisons évidentes: ces deux entités politico-administratives ont reçu l'afflux des Congolais venus du Katanga pour le Kasaï Oriental, et d'autres provinces pour Kinshasa.
2) Il est par contre scandaleux de constater que les deux provinces, Nord-Kivu et Sud-Kivu, qui souffrent des affres de la guerre (4.000.000 de morts dont la majorité dans les Kivus), puissent connaître un accroissement de la population de l'ordre de 10 %.
Il s'agit là d'une véritable fiction signée MALUMALU.
c) De l'estimation des électeurs Mr l'Abbé MALUMALU a estimé la hauteur des électeurs à 28.000.000 des Congolais.
Quel procédé a-t-il utilisé pour réaliser cette estimation? Pourtant, des sources fiables nous donnent une autre estimation: en 2005, la population congolaise serait de 63.789.778 habitants dont 33.297.879 femmes et 30.491.899 hommes.
Quant à la fraction de la population à l'âge de voter, elle s'élève à 29.674.669 habitants en février 2005. Pourquoi Monsieur l'Abbé MALUMALU chérit-il la fausseté?
d) De la vulgarisation du projet de Constitution ad référendum Au Kenya, par exemple, le projet de Constitution a été imprimée en 4.000.000 d'exemplaires pour un électorat de 4.000.000 âmes, sauf erreur de perception du message de notre part.
Au Congo-Kinshasa, à deux mois du referendum projeté, le projet de Constitution n'est pas visible dans les écoles, les Instituts Supérieurs, les Universités du Congo-Kinshasa. Sera-t-il multiplié? Quand? En combien d'exemplaires?
Monsieur l'abbé MALU MALU veut-il conduire le peuple congolais aux élections comme un troupeau de moutons incapables même de bêler ?
Monsieur l'Abbé MALUMALU ne semble pas comprendre la gravité des actes qu'il pose en ce moment précis de notre histoire.
e) De la gestion des finances de la CEI
Nous ne sommes pas auditeur de Monsieur l'abbé MALUMALU sur le plan financier.
Cependant, depuis que Monsieur l'abbé MALUMALU a lancé avec une légèreté démentielle l'opération « identification et enrôlement des électeurs », chaque jour, nous enregistrons des plaintes relatives au non-paiement des opérateurs de saisie, Le 14/10/2005, la RFI a informé la population congolaise que 1.500 opérateurs de saisie dans le Kivu (Sud-Kivu) n'avaient pas perçu leur perdiem!
f) Du défi de Mr l'Abbé MALUMALU au peuple congolais Monsieur l'abbé MALUMALU est le seul congolais à croire, dur comme fer, qu'il est sur la bonne voie conduisant aux élections transparentes et crédibles.
Nous signalons, quant à nous, à l'attention de Monsieur l'Abbé MALUMALU ce qui suit: 01. La mort des agents de la CEI en Ituri et ailleurs; 02. La noyade des policiers dans la Tshuapa à l'Equateur ; 03.. La démission du Vice-Président de la CEI 04. L'échec de l'enrôlement sur toute l'étendue de notre territoire national.
Tous ces faits et bien d'autres chargent la conscience de Monsieur l'Abbé MALUMALU. Ils disent en clair que la CEI est une abjection qui se nourrit de la perversité. Le terme de l'action de Monsieur l'Abbé MALUMALU, c'est le chaos et les ténèbres pour le Congo-Kinshasa.
3.4. Etres de rupture Qui dirigent le Congo-Kinshasa?
Depuis la mise en place des animateurs des Institutions de la transition dans le système 1 + 4, un jugement catégorique et péripétie est rendu sur le Congo-Kinshasa en cinq syntagmes nominaux: - Le pays totalement abandonné - L'absence criante d'Etat - La très mauvaise gouvernance - La corruption généralisée et l'impunité totale - Les pillages systématiques et méthodiques de toutes les ressources du pays par les dirigeants du pays et leurs parrains étrangers.
L'hebdomadaire Salongo n° 0268 synthétise son jugement en ces termes: « ...Ies hommes au pouvoir (...) s'adonnent à cour joie aux détournements des avoirs intérieurs et des aides extérieures. La mauvaise gestion de la chose publique est le talon d'Achille des gestionnaires des Institutions de la Transition. » Nous signalons seulement deux cas d'école: 1) Le détournement impuni de 33.000.000 $ destinés à la SN EL.
2) Le rapt mensuel de la solde des militaires.
Il ne peut jamais exister un consensus entre de tels dirigeants et le peuple congolais!
IV. De l'axiologie des élections A ce niveau, nous posons cinq questions à la communauté internationale à travers le CIAT et la MONUC, à l'Union Européenne par l'intermédiaire de Louis Michel, Aldo Ajello et Xavier Solanna : 1) Est-il possible d'établir la légalité Constitutionnelle élans un climat d'injustice, d'intimidation et de corruption généralisée ?
2) Faut-il que les textes fondamentaux d'une nation soient élaborés par des criminels, orientés et arrangés sur les intérêts des bourreaux?
3) Les seigneurs de guerre, criminels sans foi ni loi, assoiffés des richesses jusqu'au sang humain, peuvent-ils organiser des élections libres et transparentes afin d'instaurer la démocratie dans la jungle qu'ils ont créée pour leurs intérêts machiavéliques? « 4) Ailleurs, les peuples ont ces oppositions binaires: le crime et le châtiment, le vol et la prison. Au Congo-Kinshasa, les populations doivent subir les alliances de ce genre: crime et impunité, vol et liberté des auteurs! Au nom de quoi?
5) Au nom de quoi enfin, sans le consensus de la classe politique congolaise, l'Union Européenne tient-elle à organiser les élections au Congo-Kinshasa afin qu'aux termes de celles-ci, les victimes congolaises soient face à leurs bourreaux comme gouvernants?
V. Des pistes de solution a) Négativement - Au Congé.:.Kinshasa, les élections sont très mal parties - Monsieur l'Abbé MALU MALU fait la volonté des belligérants ainsi que de leurs parrains et prépare le chaos pour le Congo-Kinshasa.
Un fils authentique du Congo ne jouerait jamais à fond le jeu du complot contre l'unité de la République tel que le fait l'énigmatique abbé MALUMALU.
b) Positivement - Il est temps de conjurer le Mal.
Liens Pertinents
Afrique Centrale Congo-Kinshasa
- Nous demandons à l'Union Européenne d'être attentive aux cris de détresse de la majorité qualifiée du peuple congolais les dirigeants, actuels de la Transition sont disqualifiés pour conduire le peuple congolais aux élections crédibles.
Il faut absolument et dans le meilleur délai créer: 1. Un leadership de sauvetage 2. Une commission électorale également de sauvetage.


Source: le journal le phare de kinshasa.

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