Par honnêteté intellectuelle, Joseph Kabila n’aurait pas dû s’attribuer le « mérite » d’avoir mis fin à la guerre ni d’avoir amené le peuple aux élections car cela a été rendu possible grâce à l’engagement de l’ensemble de la classe politique et des forces vives décidés à en finir avec la crise de légitimité.
Il est évident que nos compatriotes de l’Est ont succombé au discours charmeur de celui qui s’est présenté volontiers comme le champion de la lutte contre les élans expansionnistes du voisin rwandais alors que lui-même demeure un produit rwandais au propre comme au figuré pour avoir gagné Kinshasa dans une mallette rwandaise dénommée AFDL.
Cette vérité historique rappelée, le deuxième tour de l’élection présidentielle devra être une étape réparatrice de la bonne foi abusée des Congolais de l’Est qui ne peuvent être considérés comme des masochistes au point d’applaudir aujourd’hui des mains et des pieds l’homme qui, aux cotés de LD Kabila, s’est allié à une coalition des mercenaires étrangers pour accéder au pouvoir d’Etat à Kinshasa après avoir servi dans les rangs de l’armée patriotique rwandaise.
C’est donc l’heure de vérité qui va sonner pour tous les Congolais appelés désormais à un vote utile pour permettre à la RDC de retrouver sa dignité et fierté nationales. Pour y parvenir, le peuple congolais appelé à se prononcer au second tour ne devra suivre que la voix de sa propre conscience et non celle frisant l’aliénation véhiculé par les chiens de garde du néo-colonialisme à visage multiple qui battent campagne pour le « favori » d’une certaine communauté internationale et qualifient désormais Jean-Pierre Bemba de fils spirituel de Mobutu Sese Seko non sans rappeler que le puissant( ?) voisin angolais ne verrait pas d’un bon œil l’avènement d’un mobutiste.
Les Congolais n’ont jamais aussi été manipulés par des puissances occultes pour orienter leur vote au profit de Kabila au motif que le second tour retarderait la reconstruction et est susceptible de provoquer des troubles. Ce coup de pouce savamment donné au PPRD et à sa machine de propagande AMP en vue d’élire Kabila au premier tour a échoué en dépit d’énormes moyens mobilisés et de flagrantes irrégularités que le tout puissant président de la Commission électorale indépendante qualifie d’incidents mineurs ne pouvant affecter la régularité du scrutin.
Pour autant, les néo-colonialistes et leurs agents locaux ne s’avouent pas vaincu. En tout cas, ils ne le sont pas encore.
Cette vérité historique rappelée, le deuxième tour de l’élection présidentielle devra être une étape réparatrice de la bonne foi abusée des Congolais de l’Est qui ne peuvent être considérés comme des masochistes au point d’applaudir aujourd’hui des mains et des pieds l’homme qui, aux cotés de LD Kabila, s’est allié à une coalition des mercenaires étrangers pour accéder au pouvoir d’Etat à Kinshasa après avoir servi dans les rangs de l’armée patriotique rwandaise.
C’est donc l’heure de vérité qui va sonner pour tous les Congolais appelés désormais à un vote utile pour permettre à la RDC de retrouver sa dignité et fierté nationales. Pour y parvenir, le peuple congolais appelé à se prononcer au second tour ne devra suivre que la voix de sa propre conscience et non celle frisant l’aliénation véhiculé par les chiens de garde du néo-colonialisme à visage multiple qui battent campagne pour le « favori » d’une certaine communauté internationale et qualifient désormais Jean-Pierre Bemba de fils spirituel de Mobutu Sese Seko non sans rappeler que le puissant( ?) voisin angolais ne verrait pas d’un bon œil l’avènement d’un mobutiste.
Les Congolais n’ont jamais aussi été manipulés par des puissances occultes pour orienter leur vote au profit de Kabila au motif que le second tour retarderait la reconstruction et est susceptible de provoquer des troubles. Ce coup de pouce savamment donné au PPRD et à sa machine de propagande AMP en vue d’élire Kabila au premier tour a échoué en dépit d’énormes moyens mobilisés et de flagrantes irrégularités que le tout puissant président de la Commission électorale indépendante qualifie d’incidents mineurs ne pouvant affecter la régularité du scrutin.
Pour autant, les néo-colonialistes et leurs agents locaux ne s’avouent pas vaincu. En tout cas, ils ne le sont pas encore.
La vigilance tous azimuts est recommandée maintenant pour que le candidat de l’étranger et son régime d’essence étrangère ne se targuent demain d’une légitimité issue des urnes. Antoine Gizenga, Nzanga Mobutu, Oscar Kashala qui viennent en ordre utile après Kabila et Bemba ainsi que d’autres patriotes candidats malheureux à l’élection présidentielle ont dans ce contexte un rôle historique à jouer en donnant des consignes de vote claires pour permettre au Congo de se réconcilier avec lui-même en retrouvant le chemin de l’indépendance et de la fierté nationales dans l’unité et la diversité de sa population qui est sa première richesse.
Source: CongoOne.
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